Interrogé sur la difficulté de jongler entre sa passion et son travail à l’OM, le dirigeant a admis qu’il devait faire la part des choses : « Si c’est compliqué ? Non, parce qu’aujourd’hui, j’ai une fonction qui est claire, qui est d’être au sein d’une direction et je me dois de défendre la ligne que l’on adopte. En revanche, là où c’est un avantage et non un inconvénient, c’est que, non seulement je lis ce qu’il se passe sur les réseaux, mais je ressens aussi une pulsion de supporters. C’est-à-dire que quand quelque chose se passe, une mauvaise décision prise par un officiel, un arbitre, ou quel que soit le contexte, je le reçois d’abord comme un amoureux de l’OM et non comme un dirigeant. Mais en prenant du recul, pour ne pas réagir trop vite. Et surtout pas au chaud », a confié le journaliste lors d’un entretien donné à Sportune.
Jacques Cardoze a déjà eu à gérer des événements compliqués, avec par exemple l’invasion du terrain de Nice.