« Marseille, c’est un autre monde, avec tout ce que ça comporte, au niveau des infrastructures, du stade, de l’environnement, de la ferveur… J’ai mis un peu de temps à m’adapter. Les six premiers mois ont été durs. J’ai commencé sur le banc, puis j’ai fini la saison. Quand j’ai signé, il y avait des joueurs comme Florian Maurice et Jérôme Leroy : la moindre petite erreur, ils la voient tout de suite. Il a fallu pas mal de temps et de travail pour arriver au niveau », a-t-il expliqué à La Provence.
« J’ai de très bons souvenirs »
Il se souvient notamment d’une victoire à Paris : « J’ai de très bons souvenirs. J’ai joué mon premier match à Lyon, on avait fait match nul (1-1). Ensuite, mon premier match au Vélodrome, c’était contre Paris, on avait gagné 1-0. Ce sont des moments qui marquent. J’étais jeune, avec tout l’environnement autour. Ça a été plus compliqué après, je pensais mériter un peu plus sur la deuxième saison. Il y a un nouveau coach, des nouveaux choix. Je me suis plié à ces choix-là, c’est comme ça. »
Grégorini a disputé 12 matchs, toutes compétitions confondues, sous la tunique olympienne. Il a ensuite été prêté à Nice.