Pour ce duel face aux Bretons, Roberto De Zerbi avait misé sur le onze suivant : Rulli – Murillo, Balerdi (c), Cornelius – Henrique, Rongier, Hojbjerg, Merlin – Greenwood, Maupay, Rabiot.
Dès l’entame, l’OM met le pied sur le ballon et dicte le rythme. Mason Greenwood s’offre la première grosse occasion du match. Sa frappe est contrée par le retour de Christopher Wooh (15e). Sur une contre-attaque, Greenwood perfore sur le côté droit et ajuste un centre en retrait pour Adrien Rabiot, dont la frappe du droit est repoussée par Brice Samba (21e).
Geronimo Rulli sauve ensuite les siens. Sur une frappe à bout portant d’Arnaud Kalimuendo, le portier argentin réalise un arrêt miraculeux. Dans la foulée, l’arbitre est appelé par la VAR et accorde un penalty très généreux sur une main d’Amir Murillo. L’immense Rulli remporte encore une fois son duel face à Kalimuendo ! (31e).
En contre, le Stade Rennais ouvre le score. Lâché par la défense olympienne, Arnaud Kalimuendo est à la réception d’un centre en retrait et trompe cette fois Rulli d’un tir croisé (1-0, 43e). L’OM répond du tac au tac ! Sur une magnifique ouverture de Pierre-Emile Hojbjerg en une touche, Murillo est lancé sur le côté droit et délivre un centre millimétré pour Mason Greenwood, qui conclut du pied gauche (1-1, 44e).
Moins de cinq minutes après le retour des vestiaires, Adrien Rabiot donne l’avantage à l’OM. Sur un ballon déposé par Greenwood, l’international français place parfaitement sa tête (2-1, 49e). Les hommes de Roberto De Zerbi gardent la maîtrise et mettent Brice Samba à contribution à plusieurs reprises par l’intermédiaire de Greenwood, Luis Henrique et Amir Murillo. Le gardien rennais se montre une nouvelle fois présent sur la frappe de Jonathan Rowe dans le temps additionnel (94e).
Après une fin de match globalement bien maîtrisée, les Phocéens signent un succès précieux (2-1) et s’échappent au classement avec cinq points d’avance sur l’AS Monaco (3ème).
