« Il était ami avec nous, ses joueurs, mais une fois dans le vestiaire, c’était très clair : il commandait et on obéissait. Il avait une énergie débordante, il s’énervait contre nous s’il n’était pas satisfait de notre implication et pouvait insulter un adversaire, parfois, mais ça n’allait jamais plus loin et, quelques minutes après, c’était retombé. Il n’a jamais eu une attitude violente. Dans le vestiaire, il pouvait vous dire toutes sortes de choses, mais en dehors il nous défendait bec et ongles », s’est-il souvenu pour L’Équipe.
La France apprendra peu à peu à le connaître. Espérons néanmoins un contexte plus tranquille, ces prochaines semaines.