« On peut ne pas forcer quelqu’un à vendre. Je ne suis même pas sûr que McCourt ait écouté Ajroudi. Je sais qu’Ajroudi avait l’argent, mais je ne sais pas ce qui s’est passé en coulisse », a expliqué le président de Hyères lors d’un entretien donné à Sport Med. Et de poursuivre : « La volonté de racheter le club était là. Comme je l’ai dit, la volonté de vendre n’était pas là. Je pensais que c’était du bluff. Je pensais que McCourt était un joueur de poker. Pas du tout. Il ne voulait pas vendre. J’étais certain que « je ne veux pas vendre » c’était « je veux plus ». J’ai mal mesuré la volonté de McCourt de ne pas vendre. »
Il avait fallu l’intervention de Bernard Tapie pour calmer Boudjellal, lequel ne paraissait pas se rendre compte de la déstabilisation que cela pouvait représenter pour André Villas-Boas et ses joueurs.