Sur Twitter, le journaliste a estimé que l’ancien sélectionneur n’avait pas tort, dans son intervention qui a suivi le match OM-Strasbourg (1-1) : « Je regarde Real Osasuna. Gros bloc bas des visiteurs. Pourtant, l’entraîneur n’est pas français. Personne ne s’en plaint. Alors que ces derniers temps, on nous explique que la compétence est liée à la nationalité. Raymond Domenech n’a pas tort sur ce constat caricatural », a-t-il lâché sur le réseau social.
Pour rappel, Domenech avait parlé de « concept collectif » pour décrire la tactique de « l’autobus » prônée par Thierry Laurey, vendredi : « L’OM accroché au vélodrome par une équipe strasbourgeoise avec un vrai concept collectif n’en déplaise à Mr Longoria . Bravo à T. Laurey. » Clivant au possible, l’ancien Lyonnais n’avait toujours pas pris le temps de comprendre les propos de Pablo Longoria. Et Nabil Djellit non plus.
Comme il y a six ans, avec Marcelo Bielsa, la corporation des entraîneurs français s’est mise en marche sur une déclaration anodine du président de l’OM. C’est dire si elle se sent menacée.