Lors d’un entretien accordé à La Provence, l’ancien latéral gauche a évoqué sa notoriété. Il croise parfois des personnes célèbres qui lui font part de leur reconnaissance : « Un jour, j’ai croisé Richard Anconina qui est venu me saluer comme si on se connaissait, pour me dire qu’il appréciait ce que je faisais, comme Bruno Solo avec qui j’échange désormais des textos. Et puis, il y a Emmanuel Macron ! Le soir de sa première finale de coupe de France en tant que président de la République, Jacques Vendroux lui a demandé ce qu’il aurait aimé faire s’il n’avait pas fait de la politique. Il a répondu : « Être Éric Di Meco, arrière-gauche de l’OM de la grande époque ». Ensuite, il a passé quelques jours à Marseille pendant l’été, dans une maison toute proche de la mienne. L’un de ses conseillers m’a contacté pour que je vienne boire le café avec le président de la République. Ça n’a pas pu se faire parce qu’il a été rappelé en urgence à Paris… », a-t-il révélé au quotidien.
Champion d’Europe 1993, Di Meco a totalisé 277 matchs sous les couleurs olympiennes, entre 1980 et 1994. Il a aussi inscrit 13 buts.