« Longoria ? Qu’est-ce qu’il a fait lui dans sa vie ? Je veux bien écouter Ancelotti, Tuchel, Kovac, les grands joueurs qui ont connu des grands championnats, tout ça, j’accepte. Mais Longoria… Je crois que l’un des dirigeants de Valence l’a traité de lâche et de menteur ? Si on disait ça de moi, je ne serais pas très fier. Moi je ne discute pas avec des gens comme ça. C’est des gens du nouveau football, des météorites qui arrivent, qui tous les ans changent de club. Par expérience je sais comment son histoire à Marseille va se finir. Je peux lui écrire s’il veut », a déclaré l’entraîneur du FC Metz en conférence de presse.
Le corporatisme des entraîneurs français dans toute sa splendeur. Ces propos remplis de lieux communs ne grandissent pas le Corse. On rappelle volontiers que Pablo Longoria a travaillé en collaboration avec l’Atalanta, Newcastle, la Juventus, Sassuolo, Valence et donc, désormais, l’OM. Mais on souhaite surtout à Antonetti, dont on sait aussi comment se terminera la fin de son histoire avec Metz, de connaître un jour le haut niveau.
