Douze signatures et des levées d’options d’achat
Pablo Longoria et Javier Ribalta ont travaillé fort, ce mercato. Les deux hommes ont validé douze arrivées. Quatre éléments sont arrivés par le biais d’un transfert sec (montants indiqués par Transfermarkt) : Jordan Veretout (ex-AS Rome, 11 millions d’euros), Luis Suarez (ex-Grenade, 10 millions d’euros), Jonathan Clauss (ex-Lens, 7,5 millions d’euros) et Isaak Touré (ex-Le Havre, 5,5 millions d’euros).
Trois joueurs ont été signés gratuitement : Chancel Mbemba (ex-FC Porto) et Alexis Sanchez (ex-Inter Milan). Samuel Gigot avait lui été recruté en janvier, et les autres sont venus en prêt : Eric Bailly (ex-Manchester United, prêt payant de 2 millions d’euros), Nuno Tavares (ex-Arsenal), Amine Harit (ex-Schalke 04), Issa Kaboré (ex-Manchester City) et Ruben Blanco (ex-Celta Vigo).
L’OM a également levé les options d’achat de Pau Lopez (12 millions d’euros), Mattéo Guendouzi (11 millions d’euros), Cengiz Under (8,4 millions d’euros) et Arek Milik (8 millions d’euros). Au total, le site indique que le club marseillais a dépensé 75,4 millions d’euros. Il ne précise en revanche pas les modalités de paiement et le fait que certaines sommes sont lissées sur plusieurs saisons.
Encore des difficultés côté ventes
Côté départs, Duje Caleta-Car (Southampton) a été transféré pour 10 millions d’euros, Luan Peres (Fenerbahçe) pour 5,2 millions d’euros et Lucas Perrin (Strasbourg) pour 1,5 million d’euros. Arek Milik a été prêté (Juventus, indemnité de 900 000 euros), et ça aussi été le cas de Pol Lirola (Elche), Jordan Amavi (Getafe), Konrad de la Fuente (Olympiakos), Luis Henrique (Botafogo), Nemanja Radonjic (Torino), Kevin Strootman (Genoa) et Oussama Thargaline (Alanyaspor).
Enfin, Boubacar Kamara, Steve Mandanda et Alvaro Gonzalez sont partis gratuitement. Les ventes ont rapporté 17,6 millions d’euros (sans savoir si ces montants sont étalés sur plusieurs saisons).
L’OM se retrouve avec un effectif très changé. Les prochaines semaines valideront ou non la stratégie des dirigeants, mais le groupe parait sur le papier qualitativement plus relevé.
