Dans son édition du jour, L’Équipe publie une critique appuyée du fonctionnement de l’OM. Le quotidien tacle les choix de Pablo Longoria, qui est clairement placé dans la case « accusés ». Ses stratégies ne sont apparemment pas appréciées par les spécialistes Mathieu Grégoire et Mélisande Gomez, qui lui font un véritable procès. Les raccourcis paraissent nombreux. Et d’après eux, le club olympien a désormais « un fonctionnement à l’italienne », ce qui signifierait que chacun reste à sa place et que l’entraîneur n’a pas mot dire sur le recrutement. Comme si Jose Mourinho (AS Rome), Massimiliano Allegri (Juventus) ou Stefano Pioli (Milan AC) étaient des pantins.
Mardi, Mélisande Gomez comparait très sérieusement Ruben Blanco à un joueur prêté par le musée Grévin. Le papier du jour est du même acabit : dégradant et caricatural. Il n’y a apparemment rien de positif à souligner dans la gestion de Pablo Longoria. Dans les colonnes du quotidien sportif, le traitement de l’OM au vitriol est devenu une habitude, et pas seulement cette saison.