« Avec Luis Henrique, clairement tu lances la pièce. Tu dépenses quand même 12 millions d’euros, même si je sais qu’aujourd’hui dans le foot ce n’est pas grand-chose. Mais c’est quand même 12 patates pour un gamin, donc déjà pour faire du trading… », a estimé le journaliste au micro de Canal+.
Inutile de mettre de la pression sur le Brésilien, lequel va devoir s’adapter à un nouveau contexte et un football plus rapide. Les prochaines saisons diront si André Villas-Boas et Pablo Longoria ont eu le nez creux.