« Jamais on n’aurait pu faire cela sans la protection des patrons. On ne m’a jamais dit : “arrêtez de parler de tel club ou de vous acharner sur telle personnalité”. C’est l’élément numéro 1 du succès. Pourtant, plusieurs présidents, comme Loïc Féry et Vincent Labrune, ont appelé ou envoyé des courriers à la direction pour dire : “virez-les !” », s’est souvenu le second lors d’un entretien accordé à L’Équipe.
L’After a pris une tournure très parisienne, ces dernières saisons. Il paraît aujourd’hui très difficile pour les fans phocéens de l’écouter.