Face à la presse, Le patron de la FFF a, de la même façon que le Lyonnais, rappelé qu’il n’y avait pas eu d’unanimité : « La majorité n’était pas forcément pour lui, mais c’est le système. » Il a parlé de suffrages « très serrés » et d’un résultat « un peu bizarre ». Car le Breton misait sur Michel Denisot, et non l’ancien Phocéen : « Parce que je le connais depuis tout le temps, on a travaillé ensemble longtemps. Mais je souhaite aussi bon vent au nouveau président. » Et d’insister sur le fait que sa nomination ne venait « non pas (de) la majorité, mais de plusieurs personnes qui ont préféré Labrune qui fera j’espère un bon président » : « Le président de la Fédération, quel qu’il soit doit évidemment être en harmonie avec la Ligue », a-t-il conclu, en indiquant qu’il allait bientôt rencontrer VLB.
Le Graët et Aulas ne s’attendaient pas à cela. S’ils paraissent toujours savoir ce qui serait bon pour le football français, leur avis ne fait visiblement plus l’unanimité.