« Ce n’est pas tant la haine de l’autre, c’est la fierté d’appartenance qui est son paroxysme et qui célèbre les émotions. Et dans toute forme d’émotion, il existe aussi des moments cathartiques ; c’est-à-dire quand on se compare aux autres. Soit on s’allie, soit on s’oppose. C’est pour cela qu’on aime à dire du sport et de tous les derbies, que le sport n’existe que parce qu’il existe un « meilleur ennemi » », a-t-il déclaré dans La Provence.
« Je vis cette C1 comme un tournoi d’été »
Il pense que la rivalité sert les deux clubs : « Sans le PSG que serait l’Olympique de Marseille et sans l’OM que serait le PSG ? C’est le rapport d’opposition, c’est en s’opposant que l’on se construit. » En tant que Marseillais, il refuse enfin d’accorder trop importance à la Ligue des Champions post-Covid-19 : « Comment je vais vivre cette finale ? Comme un tournoi d’été, dont le vainqueur devra confirmer la saison prochaine dans une vraie Ligue des Champions. »
La finale de C1 que s’apprête à disputer le PSG fait décidément beaucoup réagir.