L’Italien est soupçonné « d’abus d’autorité », « de violation du secret de fonction » et « d’entrave à l’action pénale ». Il est notamment visé pour ses rencontres avec Michael Lauber, l’ancien chef du parquet mis en cause pour sa gestion du Fifagate. « Depuis que je suis président de la Fifa, j’ai toujours cherché à aider les autorités dans les enquêtes portant sur des actes répréhensibles commis par le passé au sein de la Fifa et je continuerai à le faire », a réagi Infantino.
Il ne s’agirait quand même pas d’oublier que, depuis cinq ans, une vingtaine de procédures ont été ouvertes contre l’instance. Il paraît plus que temps de faire le ménage…