« Les arguments de Marseille ? Sa réputation notamment. L’OM est une marque forte. En cela, il peut parfaitement devenir un acteur essentiel dans une politique de soft power mise en place par des Etats qui pourraient s’inspirer de la réussite qatarie au PSG. (…) Il ne semble pas que le club prépare sa vente. Aucun des signaux ne vont dans ce sens. Mais aucun club n’est invendable, on le voit aujourd’hui. Pas plus l’OM qu’un autre. »
Si l’OM n’est a priori pas à vendre, comme le dit Lionel Maltese mais aussi le président du club, Jacques-Henri Eyraud, certains veulent l’acheter, comme Mohamed Ajroudi avec Mourad Boudjellal. Reste à savoir si ces derniers vont s’entendre avec Frank McCourt.