« On a l’impression que ces gens-là essayent de forcer la vente. D’où la stratégie de déballer médiatiquement les choses et de ne pas faire comme on peut penser que cela devrait être fait. Je veux t’acheter quelque chose, je viens te voir, on négocie… Là j’y vais médiatiquement pour que le peuple marseillais, qui en a marre de la direction actuelle, se mobilise avec l’envie que cela se fasse. Afin d’avoir un poids pour inciter à vendre. Cependant, pour que cela soit vendu, il faut que McCourt ait une offre qui lui convient, avec les garanties bancaires qui vont avec. Mais faire parler aussi Acariès qui fait penser à l’époque Pape Diouf, Mourad Boudjellal qui a connu une réussite à Toulon, reste à savoir comment on arrive à celui qui a l’oseille. (…) Il faudra que le vendeur soit satisfait. Tout ce qui sera bon pour l’OM, on sera content. »
Dans un processus de vente, en effet, il est rare qu’un potentiel acquéreur se dévoile médiatiquement. Quand cela est arrivé, dans le cas de l’OM (Jack Kachkar en 2007, Gérard Lopez en 2016), il n’y a pas eu de vente.