« C’est quelque chose qu’on avait plutôt anticipé. L’assouplissement des règles du fair-play financier semblait être logique au vu du contexte. Quand j’ai entendu ça, je me suis dit que le président qui avait le mieux mené sa barque dans toute cette séquence, c’est peut-être Jacques-Henri Eyraud parce qu’il a milité pour l’arrêt de la saison afin de garder sa deuxième place. Lui aussi a anticipé l’assouplissement du fair-play financier. Il a eu l’arrêt de la saison. Il a la Ligue des champions qui fait rentrer plus d’argent que les droits télés domestiques. Il a été bon », a déclaré le journaliste sur l’antenne de RMC.
Riolo paraît persuadé que chacune de ces décisions a été le résultat d’une lutte d’influences. Et si le monde n’était pas aussi corrompu qu’il ne l’imagine ?