« Il dessine les contours de son manager général, ou je ne sais plus les termes anglais ridicules qu’il a utilisés, et de son directeur sportif. Cela veut dire que ni l’un ni l’autre ne sont choisis alors qu’il est bien évident qu’il avait décidé de se séparer de Zubizarreta depuis de longs mois. Gouverner c’est prévoir. Là, il y a une vraie défaillance et un vrai flou pour Villas-Boas qui ne sait pas avec qui il va travailler. »
Une pierre de plus dans le jardin de Jacques-Henri Eyraud, dont le manque de préparation et d’anticipation étonne effectivement beaucoup…