« On a retenu l’option J28, car c’est celle qui a paru la moins injuste et qui en plus était alignée avec les décisions prises par la fédération pour le monde amateur. C’était important pour le parallélisme des formes, de parler d’une seule voix avec la fédération et d’établir la même méthode de classement en vue de probables recours », a notamment expliqué le directeur général de la LFP, Didier Quillot, sur les ondes de RMC.
« Nous avons fait une analyse juridique en amont »
Il n’est pas étonné par les menaces de Jean-Michel Aulas : « Bien sûr qu’il y aura des recours, des clubs ne sont pas satisfaits de cette décision et en feront. Mais nous avons fait une analyse juridique en amont, on a fait faire ce qu’on appelle une ‘legal opinion’ par des avocats, on a eu un avis juridique de la fédération, et sur la base de ces avis on a pris notre décision. Que ce soit l’arrêt du championnat ou le classement, ce sont des décisions solides juridiquement. Il y aura des recours oui, mais encore une fois nos décisions sont solides », a-t-il ajouté.
Pour rappel, le président lyonnais a annoncé qu’il réclamerait plusieurs dizaines de millions d’euros de dédommagement pour le préjudice subi.