« Franck Ribéry, s’il fallait ne pas le payer, il ne l’aurait pas payé. Par contre, il lui avait donné sa parole d’homme pour un départ l’été suivant. Un an après, il signait au Bayern Munich. Tout Franck Ribéry qu’il était, il était rentré dans le rang », s’est souvenu le Niçois. Il a aussi commenté l’envoi des minots pour disputer le fameux match contre le PSG : « C’est sa décision. Si ça se passe mal, il peut perdre son poste. Mais il était comme ça, droit dans ses bottes, plein de sincérité et d’humanisme », a-t-il ajouté.
Très proche de Pape Diouf, Julien Fournier a occupé le poste de secrétaire général de l’OM jusqu’à son départ, à l’été 2009.