« On a 100 obligations différentes avec 100 opérateurs du monde entier. Et si les matchs ne sont pas joués, il n’y a pas d’argent qui entre. On travaille pour voir comment on peut arranger les calendriers pour faire face au coût financier qui arrive. C’est compliqué pour les grands clubs comme les petits. Ils jouent l’Europe et gagnent aussi de l’argent avec ça. Si toutes les compétitions sont annulées, les revenus sont inférieurs. Tous les budgets vont prendre un coup si la compétition ne prend pas fin, mais moi je suis convaincu qu’elle terminera. Mais il faudra voir comment on fait uniquement en cas d’absence d’Euro, parce que sinon, on aura de gros problèmes », a-t-il confié à la Cadena COPE.
La situation est sensiblement la même avec la Ligue 1. Et l’ensemble des budgets, dont celui de l’OM, sont bâtis autour des rétributions liées aux droits TV.