Nabil Djellit a partagé un de ses anciens tweets, qui disait : « Curieux de voir ce phénomène argentin… sur une idée non originale de Zubizarreta. Espérons que Pipa (Benedetto) ne transforme pas en pipasse à l’OM… » A ce tweet, offensif et gratuit qui surfe sur un jeu de mots ringard, le journaliste a ajouté la chose suivante, le lendemain du match contre le FC Nantes : « Encore une fois, hélas, j’avais vu juste… »
Si l’Argentin sort effectivement d’une période moins aboutie, il a tout de même inscrit 8 buts en L1 en 24 rencontres, alors qu’il n’avait jamais joué en Europe auparavant. A titre de comparaison, Kasper Dolberg (Nice) a marqué 9 buts en L1, et Islam Slimani (Monaco) également, soit un seul but de plus que le joueur de l’OM. Pourtant, dans le cas de l’Algérien de l’ASM, Nabil Djellit l’encense à chaque fois qu’il le peut, faisant passer la recrue estivale monégasque pour un crack du football mondial. Deux poids, deux mesures…