« Villas-Boas a su créer une ambiance particulière. Il fait progresser des joueurs à la rue comme (Jordan) Amavi. Ce garçon, il y a quelques mois, je pensais qu’il ne pouvait plus rentrer au Stade Vélodrome. Quand tu es dans sa position, rentrer au Vélodrome, c’était presque un exploit. Le mettre titulaire, c’était prendre un risque et il en a refait un bon joueur de foot. Il a fait progresser Kamara. Sur un match comme dimanche soir, c’est sûr que si Villas-Boas est rentré dans le vestiaire en disant « ils auront un creux et si on égalise, derrière on va les flinguer ». Ce n’est pas madame Irma, c’est juste connaître un peu la Ligue 1, connaître son équipe et connaître les faiblesses de l’adversaire. Il arrive à sentir ce qu’il se passe. »
Samedi, pour la 26e journée de L1, l’OM devra continuer sur sa lancée, contre le FC Nantes.