C’est un peu comme lorsque vous vous inscrivez chez un bookmaker avec ce code promo[/url] glané sur le net et que vous perdez votre premier pari, ce n’est pas bien grave, car vous êtes remboursé au final. On citera pour exemple les jeunes attaquants Zinedine Machach et Aaron Leya Iseka qui n’auront pas marqué de leur empreinte le club marseillais, mais qui n’auront pas non plus participé à creuser le déficit du club.
Par contre, pour d’autres joueurs, leur niveau a tellement été bas, voire catastrophique, que les dirigeants marseillais, et encore plus les supporteurs, s’en mordent encore les doigts et encore plus lorsque le coût du transfert a été faramineux comme ce fut le cas avec Kostantinos Mitroglou. Le joueur grec est actuellement prêté au PSV Eindhoven aux Pays-Bas, après un précédent prêt qui fut déjà un échec en Turquie à Galatasaray. Et le pire est qu’il reviendra au club la saison prochaine même si, pour plaider en sa faveur, ses statistiques sont tout à fait honorables et encore plus lorsque l’on connaît son temps de jeu famélique et sa préparation tronquée du fait d’être arrivé en cours de saison en étant blessé.
Et comme il serait injuste de ne citer que les joueurs, nous avons également voulu élire le plus mauvais entraîneur de l’OM de la dernière décennie et c’est avec lui que nous allons commencer, car cela est sans appel : l’ancien international espagnol et joueur du Real Madrid : Michel. Lors d’une décennie qui aura vu passer des coachs comme Deschamps, Bielsa et actuellement Villas-Boas, l’Espagnol fait tache et son passage n’aura laissé aucun bon souvenir à l’OM et sur ce site[/url]. Nous aurions pu également citer Rudi Garcia, mais il aura quand même réussi à mener l’équipe en finale de l’Europa League ce qui n’est pas rien quand même. Mais place aux joueurs maintenant.
Le 11 des pires joueurs de l’OM de la décennie
Gardien de but : Gennaro Bracigliano
Au poste de gardien de but, nous avons hésité entre Bracigliano et Elinton Andrade, mais ce dernier avait une bonne mentalité et un comportement exemplaire.
Arrière gauche : Paolo De Ceglie
Henri Bedimo n’aura trouvé sa place qu’à l’infirmerie et Patrice Evra, malgré une excellente carrière, est arrivé au club bien trop tard pour montrer quoi que ce soit de bon à part son aptitude pour les coups de pied sautés. Mais peu importe, car l’Italien De Ceglie aura vraiment été le pire de tous.
Défenseurs centraux : Doria et Aymen Abdennour
Le premier était présenté comme un grand espoir brésilien et le second, qui était un roc lorsqu’il jouait à Monaco, était en perdition depuis ses passages en Espagne. Au final, Doria n’aura rien montré de bon et le Tunisien aura passé son temps sur le banc et à l’infirmerie plombant par là même les finances du club.
Arrière droit: Tomas Hubocan
Un transfert qui restera incompréhensible pour de nombreux supporteurs de l’OM, car le joueur n’aura jamais vraiment eu la chance de s’imposer. Mais le peu qu’il a montré n’était guère réjouissant.
Milieux défensifs : Abou Diaby et Grégory Sertic
Beaucoup considèrent Kevin Strootman comme un accident industriel, car son transfert a coûté très cher, mais le fait est qu’au moins, il joue et se comporte comme un vrai professionnel. Abou Diaby fut un pari, mais ses blessures à répétitions ne lui permirent malheureusement pas de revenir à son extraordinaire niveau d’Arsenal. Quant à Sertic, c’est un gros flop qui pèse encore sur les finances de l’OM et qui heureusement arrive en fin de contrat.
Milieux offensifs : Foued Kadir et Modou Sougou
Nous avons choisi deux ex-internationaux africains vraiment décevants sous les couleurs olympiennes, mais ils étaient en lutte avec l’ancien international marocain Abdelaziz Barrada, lui aussi loin d’être au niveau pour l’OM.
Avant-centre : Saber Khalifa et Konstantinos Mitroglou
L’international tunisien marchait plutôt bien lorsqu’il jouait à Évian et l’international grec empilait les buts avec le club lisboète de Benfica. Au final, malgré quelques fulgurances, les deux n’auront rien apporté au club phocéen. Nous avions également pensé à Steven Fletcher, mais le flop fut moins grand ; les attentes également.