Selon ce dernier, qui est resté anonyme, dans ce genre de cas de figure, « la clé, c’est l’anticipation. Tous les grands clubs le font : quand un jeune arrive en fin de contrat, 18 ou 24 mois avant, il faut discuter. Concernant Lihadji, je pense que ça n’a pas été fait, ou mal fait. »
L’ailier de 17 ans, très prometteur, n’a toujours pas signé un contrat professionnel avec l’OM, contrairement à Marley Aké (18 ans), par exemple. Les discussions coinceraient à propos du salaire et de la prime à la signature.