« Si ce sont des paroles en l’air d’évoquer un groupe qui vit bien ensemble ? C’était vraiment le cas (l’an passé). L’ambiance était sereine à l’entraînement. On rigolait bien. C’est encore vrai cette saison, même si on n’organise pas souvent, pour ne pas dire jamais, des sorties au restaurant. J’ai pu connaître ça à Nice ou à Monaco, au moins une fois par mois. Ici, c’est plus difficile de bénéficier d’un relatif anonymat et de passer inaperçu, surtout dans une période moins faste », a déclaré l’attaquant phocéen dans les colonnes du Parisien.
« Je me suis toujours senti important »
Il ne regrette pas sa signature dans le club marseillais : « Au contraire. Aurais-je fait mieux ou moins bien ailleurs ? Je ne sais pas. Si, un jour, je me rends compte que je ne peux plus rien apporter à l’équipe, que je passe plus de temps sur le banc ou en tribune, ça voudra dire qu’il faudra que je parte. Ça n’a jamais été le cas depuis mon arrivée. Je me suis toujours senti important. Pas seulement moi, mais tous les garçons présents sur la feuille. Souvent, un match bascule d’ailleurs grâce à un joueur sorti du banc. »
Rarement placé dans l’axe, Germain n’a inscrit que 2 buts en 12 apparitions, cette saison.
