« Si j’en veux à Benzema ? C’est une bonne question. Il s’est passé ce qui s’est passé. Quand tu regardes de plus près, il a eu des mots qui sont durs à accepter, a-t-il lancé au micro de RMC Sport. Quand tu lis certaines choses, les écoutes, tu dis que c’est difficile à accepter. On a joué ensemble quelques années. Je suis passé à autre chose, aujourd’hui mon moteur, il n’est pas là. C’est l’avenir d’être heureux, d’être épanoui. J’ai fait mon devoir de citoyen dans ce que je devais faire. Un moment, quand je vais à la police, je porte plainte contre X, je ne sais pas qui est derrière. Au début, je fais mon devoir de citoyen et je fais en sorte que ces personnes-là n’ont pas à me menacer. Elles ne me menacent pas. J’ai fait mon devoir de citoyens. J’ai fait ce que j’avais à faire. »
« Le plus dur, ça a été pour ma famille »
L’affaire a eu des répercussions sur la vie privée de Valbuena : « Ça a été très difficile à vivre. Tout m’est tombé dessus, c’était terrible. Mais le plus dur, ça a été pour ma famille. Je suis séparé de la mère de ma fille depuis un an et demi. Ça a été très difficile pour elle. Cette affaire a été le début des complications entre nous. (…) On a pensé que j’étais un bon client à faire chanter et me rendre la vie difficile. Mais ces gens ne me connaissaient pas. Moi, on ne me fait pas chanter », a-t-il ajouté.
Pour rappel, le Madrilène, qui s’est fendu de quelques déclarations très évitables et qui n’a jamais paru se remettre en question, a été mis en examen dans le dossier de la sextape, comme son ami d’enfance Karim Zenati. L’affaire a coûté la fin de carrière internationale de Benzema et Valbuena.