« Tu ne peux pas réellement couper la tête aux ultras, car ça rapporte aussi au niveau de l’ambiance. Cela remplit les stades et donne une certaine image. Il y a un intérêt de tous les côtés. Je ne crois pas que la tendance soit à couper la tête du mouvement, mais plus à enlever certains droits qu’il y avait avant. Je ne suis pas sûr qu’il faille être si pessimiste. Je ne crois pas qu’en France, on ait un public de substitution pour garnir les tribunes populaires, cela n’existe pas dans notre pays », a déclaré le journaliste sur les ondes de RMC.