« Il faut le dire, Rudi a fait du mal au club », aurait lâché un cadre du vestiaire phocéen, en privé, au quotidien La Provence. Cette façon de ne parler que sous anonymat n’est pas très courageuse, mais elle paraît confirmer le ressenti des observateurs. Le joueur aurait souligné « les erreurs de recrutement et les dépenses inconsidérées qui ont plombé les finances, mais aussi un exercice (trop) solitaire du pouvoir ».
On n’oublie pas non plus que Jacques-Henri Eyraud a décidé du pouvoir décisionnel du technicien. Il l’a prolongé et soutenu, malgré les mauvais résultats, en prétextant que le club avait besoin de stabilité. Sa responsabilité paraît également très lourde.