« J’arrive dans le bureau de la Commanderie, il y a le président chargé de la transition en attendant que le club soit vendu, s’est remémoré l’attaquant au micro de RMC Sport. Il arrive et il salue mon agent en pensant que c’était le joueur et lui dit : ‘Alors ça va ? C’est toi qui va nous marquer des buts ?’ Et il lui répond en me pointant du doigt : ‘Non, c’est lui l’attaquant !' »
Ciccolunghi a finalement cédé sa place à Jacques-Henri Eyraud, quelques mois plus tard.