Sur son site internet, L’Équipe évoque les perspectives de développement des dirigeants marseillais, par le biais de la gestion de l’enceinte du boulevard Michelet. Ils espèreraient des recettes comprises entre 10 et 15 millions d’euros par an, sur le seul domaine des « events », soit environ ce que perçoit Lyon, avec le Groupama Stadium. Pour cela, le club phocéen espère augmenter le nombre d’évènements (140 sur la saison 2017-2018, avec le gestionnaire Arema, contre 400 pour le club lyonnais).
« On est ambitieux »
« Arema a fait un très bon boulot sur les « events », mais il lui a manqué la maîtrise de la marque OM. Inversement, aucun grand club ne peut s’inscrire dans un cercle vertueux économique et sportif sans maîtriser la gestion de son stade. Quand je travaillais au Barça (il en a été le directeur marketing de 2010 à 2015), un tiers des revenus provenait du stade et des activités hors football. C’est très important. On est ambitieux », a confié le directeur général olympien, Laurent Colette.
Pour rappel, il est désormais possible pour les entreprises d’organiser des séminaires, des salons ou des évènements au stade Orange Vélodrome.