« Je l’ai eu au téléphone en août, je lui ai dit de se relâcher, car il y a eu deux ou trois matches où il a fait de bonnes choses. Mais il se met trop de pression et cela se caractérise par du n’importe quoi. Il m’a répondu qu’il en était conscient. Il a peur de perdre le ballon. En plus, il n’a pas de chance : à chaque fois qu’il le perd, il y a danger derrière. C’est dans la tête », a-t-il estimé dans les colonnes de La Provence. Il pense qu’il « suffit d’un déclic » : « Il doit se remettre dans le droit chemin. Je ne suis pas inquiet pour lui, il est très gentil et a une mentalité extraordinaire. Il peut montrer beaucoup plus. »