« C’est un gros problème. On souhaitait prendre quelqu’un hier (lundi)… On n’a pas pu à cause de Marseille, a lancé le président du FC Nantes dans L’Équipe. C’est la raison pour laquelle on a ajouté aujourd’hui (hier) des indemnités de pénalité. On est restés toujours sur le même principe, sur la même demande (financière). Je comprends qu’on puisse ne pas être d’accord. Mais, à un certain moment, c’est clair qu’à 23h45, si on n’est toujours pas d’accord, c’est fini. Aujourd’hui (hier), ils utilisent leur joker. Ça ne me dérange pas. En revanche, nous ne pouvons plus prendre Trebel. »
« Ce n’est pas comme ça qu’on fait »
Et de poursuivre : « Dans les affaires, on n’est pas obligés d’être d’accord, mais ce n’est pas pour ça qu’on ne peut pas respecter l’autre partie. On dit qu’on n’est pas d’accord, on arrête et on recommence. À un moment donné, Marseille nous a quand même un peu manqué de respect. Ce n’est pas comme ça qu’on fait. Je comprends qu’on puisse voir le joueur avant, s’il veut venir négocier certaines choses. Mais pas de cette façon. Ce n’est pas sérieux. Ça met en difficulté tout le monde. »
L’OM semble finalement avoir déboursé davantage que s’il avait accepté les conditions nantaises, dès lundi.
