« On jouait à la Pocha (un jeu de cartes, NDLR) dans le car lors des déplacements et Alvaro s’énervait souvent. Il est très compétiteur, quel que soit le jeu, et très impulsif. Il a le sang chaud, il joue comme un Argentin. S’il est devenu footballeur, c’est à 70 % grâce à son caractère.Au Racing, notre entraîneur avait une dent contre lui, il ne le faisait pas jouer, mais lui ne baissait pas les bras, il a une personnalité très forte. Son successeur, Marcelino Garcia Toral, l’a appelé en équipe première et il n’est jamais redescendu avec nous », s’est souvenu son ancien partenaire, interrogé par L’Équipe.