« Pour ce qui est des sanctions, l’article 614.1 ne prévoit la possibilité de rompre le contrat de travail que dans le cas où le joueur ne s’est pas mis à la disposition de son club pendant dix jours consécutifs. En tout état de cause, une absence d’une journée, dès lors qu’elle ne s’inscrit pas dans un contexte de récidive, paraît difficilement pouvoir être caractéristique d’une faute grave en justifiant la rupture anticipée d’un contrat de travail », a-t-il indiqué à So Foot.
« L’OM ne compte plus sur le joueur »
Et d’ajouter : « À mon sens, l’OM a enclenché cette procédure au motif qu’il ne compte plus sur le joueur, qui, lui, a manifesté sa volonté de rester au club, et que sa valeur marchande est aujourd’hui inférieure à la charge qu’il représente sur un plan purement économique, comptable. »
Pour rappel, le contrat d’Adil Rami porte jusqu’en 2021.