« Marquer, c’est toujours spécial, mais le contexte joue beaucoup et c’est ça que je retiens. Par exemple, le Classico que nous avions fait à Marseille l’année dernière, le but était beau, mais c’est le moment qui était fort ! Nous étions dix, c’était la fin du match, ce but nous a permis de ne pas perdre le Classico et de ne pas donner de joie aux supporters adverses. Il y a beaucoup de choses qui donnent de la particularité à ce match », a-t-il indiqué lors d’un entretien accordé sur le site officiel du PSG.
Il faut espérer que les Phocéens aborderont les gros matchs avec un autre état d’esprit, dans les mois qui arrivent, et mettront fin à cette interminable série face au club qatari.