« Où peut-on situer André Villas-Boas dans la hiérarchie des entraîneurs ? Pour l’instant, nulle part puisque ça fait 18 mois qu’il n’avait pas de poste, a-t-il rappelé au micro de la chaîne L’Equipe. Les bons résultats de Villas-Boas, ça commence à dater un peu. Ce choix prouve surtout que Zubizarreta a pris le pouvoir sur le plan sportif, c’est lui qui a imposé Villas-Boas, cette fois il est vraiment le directeur sportif. Ce qui est bizarre c’est de faire signer cet entraîneur que pour deux ans alors qu’on se dit ambitieux. Deux ans, c’est court pour faire ses preuves, je trouve que la confiance est limitée. » Et de conclure : « J’ai interviewé Villas-Boas en 2013, il avait un ego surdimensionné. »
Certaines critiques sont décidément violentes. Espérons que cela donne encore un peu plus de motivation au technicien portugais.