Le président de l’OM est sorti de son mutisme, dans les colonnes de l’AFP : « La priorité, c’est l’union sacrée du public derrière les joueurs, dimanche soir, parce qu’on est face à un adversaire qui regarde avec gourmandise la façon dont on pourrait se tirer une balle dans le pied. C’est un adversaire suffisamment fort pour ne pas lui donner ce qu’il attend », a-t-il lancé. Il craint visiblement la colère du public : « J’espère que le Vélodrome permettra aux joueurs de se dépasser, comme seul ce stade peut le faire en France quand l’ambiance est au rendez-vous. »
Il a aussi commenté les insultes dont il a été l’objet, ces dernières semaines : « Elles n’ont aucune importance. Le cas des uns et des autres importe peu, ce qui compte c’est d’être derrière les joueurs. »
JHE aurait certainement été bien inspiré de faire ce type de déclaration avant que les objectifs ne soient devenus inatteignables.