« À la sortie de ce match, on est forcément frustrés. Tant sur le score que dans le contenu de notre prestation. On n’a pas joué. Mon équipe a sans doute été inhibée par le contexte. De plus, on n’avait pas de bonnes jambes, après avoir enchaîné trois matches en huit jours. Cela peut expliquer notre résultat. Il y a aussi, bien sûr, la dernière action qui laisse perplexe. Il y a une petite faute (de Denis Bouanga sur Bouna Sarr, NDLR). Voici deux semaines (à Saint-Étienne), l’arbitre nous avait dit qu’il fallait une faute flagrante pour accorder un penalty. Or, celle qui avait été commise sur Umut Bozok (dans la surface stéphanoise) l’avait été sans qu’elle débouche sur un penalty en notre faveur. Et là, maintenant, on nous dit que celle de Denis l’était et que c’est la raison pour laquelle l’arbitre ne pouvait pas siffler penalty pour une main de Bouna Sarr consécutive à ce contact. Allez comprendre. Personnellement, j’étais favorable au VAR, mais le bilan est quand même contrasté. Mais bon, ça fait partie du jeu… », a-t-il déclaré en conférence de presse, après le match.
A noter que les Nîmois accueilleront Lyon, lors de la dernière journée du championnat (le 25 mai).