« Je suis désolé mais Balotelli, c’est une verrue. Arrêtons de m’expliquer qu’il a marqué contre Dijon… Tu as besoin de lui sur deux matchs, à Paris et à Bordeaux, où tu n’as pas gagné depuis 150 ans ! Le mec, il disparaît. Il n’est pas là. A Nice, il avait dit : « J’ai mal à l’oeil, j’ai mal à l’orteil… » Il a toujours mal quelque part ! Apparemment, il ne se sentait pas à 100 % pour jouer. Non mais c’est une blague ? En 16 ans de carrière, j’ai toujours eu une douleur quelque part ! (…) Il est où ton rôle de leader ? Il est où l’exemple que tu dois donner ? Tu dois emmener toute l’équipe avec toi ! Ne surtout pas t’échapper à Paris ! Ne surtout pas t’échapper à Bordeaux ! Il rentre à un quart d’heure de la fin et il met le bordel dans le match. Non mais c’est quoi ce joueur ? Il faut qu’il parte. Il ne pense qu’à lui ! »
Le champion du monde 98 ignore les buts que l’Italien a marqué depuis qu’il est à l’OM, soit 7 en 10 rencontres, pour se concentrer sur deux matchs où il n’a pas été efficace, comme l’ensemble de l’équipe.