« Une bourde de communication, une de plus. Ne vous étonnez donc pas si, dans les prochains jours, les bruits envoyant certains Olympiens en Italie, en Espagne, aux États-Unis, en Chine, ou en Papouasie Occidentale (eh oui, il va bien falloir se creuser les méninges pour recaser les boulets) se multiplient. Idem pour le probable ménage de (fin du) printemps à venir au niveau d’un encadrement sportif qui a pulvérisé ses limites. Pour un président qui veut maîtriser jusqu’à la moindre virgule de chacune de ses interventions médiatiques, cette sortie s’est donc avérée extrêmement maladroite », a-t-il lâché dans La Provence.
JHE, qui n’est pas aidé par un Andoni Zubizarreta très effacé, semble effectivement parfois faire des déclarations à contresens. En se mettant en retrait, depuis l’automne dernier, il n’a facilité ni le travail de son entraîneur, ni celui de ses joueurs. Car c’est aussi son rôle de taper du poing sur la table et de faire face aux pressions extérieures pour les protéger. Non, l’OM n’est pas une entreprise du CAC 40.