« C’est une priorité et je dois atteindre les objectifs que l’on m’a fixés. Pour optimiser les revenus, il faut cocher toutes les cases. Tôt ou tard, l’OM doit avoir un sponsor sur le maillot. Avec Orange ? Rien n’est jamais fini. Attendons le coup de sifflet final, beaucoup de choses se passent au dernier moment. Une chose est sure : on ne veut pas faire les combinaisons des pilotes de rallye qui comptent 50 marques », a-t-il expliqué lors d’un entretien accordé à La Provence.
« Il faut toujours aller chercher »
Le directeur général de l’OM ne ménage pas ses efforts : « Je veux casser un mythe : les entreprises qui viennent au Barça, au Real, à Rome ou à Chelsea, il n’y en a pas beaucoup. Il faut toujours aller chercher, ce qui est un peu étrange car quand on cumule tous les contrats de sponsoring de tous les clubs de football, ça fait des milliards et des milliards. C’est donc notre rôle de nous présenter. Beaucoup de grandes entreprises ne connaissent pas forcément les détails de ce que font le Real, Chelsea ou l’OM. À nous d’expliquer la réalité comme notre essor sur les réseaux sociaux ou notre ambition internationale, ainsi que la vision de Frank McCourt sur ce qu’on veut faire à trois ou cinq ans. »
On peut imaginer que les contre-performances de l’équipe de Rudi Garcia ne lui facilitent pas son travail, cette saison. A contrario, les sponsors potentiels ont pu se rendre compte de la popularité du club, lors du parcours de Ligue Europa de la saison passée.
