« Je vais occulter le côté OM-PSG, match où il y a de la rivalité, de l’engagement. Hier, c’était un match pour rester au contact de Lyon, pour pouvoir faire cette fameuse Ligue des Champions qui est le but du club et de nombreux joueurs. Et je n’ai pas vu ça hier soir. Je n’ai pas vu de rythme, d’engagement. (…) Je m’en fous des râteaux et des roulettes. Tu repars propre de derrière en faisant quatre passes pour la redonner à Mandanda qui dégage, ça c’est merveilleux, dit-il ironiquement. Ce n’est pas ça de jouer, fais le pressing haut, va leur marcher dessus. La seule chance que tu as, c’est qu’ils aient un peu la tête dans le sac et que tu imposes un défi qu’ils ne veulent pas relever. Donc si tu ne fais pas un match à 120%, tu n’y arrives jamais. »