« »Steve a eu, oui, des moments un peu plus difficiles. Mis à part le match à Paris, il avait retrouvé un bon niveau. Il n’y a pas de raison de changer (de hiérarchie) aujourd’hui. Il a toujours ce statut de numéro 2 depuis un petit moment. Après, vous le savez aussi bien que moi, la vérité de juin ou de septembre, ou dans un an, je ne la sais pas. Mais à partir du moment où j’appelle Steve, ce n’est pas pour changer une hiérarchie qui est établie », a confié l’ancien entraîneur de l’OM face à la presse, ce lundi.