« Ils marquent un but de la main. Apparemment tout le monde le voit, pas [l’arbitre]. Je suis écoeuré mais j’ai compris, on me le fera plus. […] Il s’est passé la même chose qu’hier. À la 90e minute, jamais un arbitre ne doit siffler ce penalty. Et il le siffle. Vous croyez que c’est parce que Manchester a payé? Non, c’est que, cet arbitre, il aime le foot depuis qu’il a cinq ans. Or, tant que [les Parisiens] n’auront pas le prestige, non pas vis-à-vis des décideurs, des journalistes, mais celui vis-à-vis des fous dingues de foot dans le monde, ils auront cette difficulté », a expliqué le boss sur CNews.
« J’ai pris Beckenbauer »
Il se rappelle avoir éliminé le problème, à Marseille, en prenant Franz Beckenbauer comme entraîneur : « Comment j’ai réglé le problème ? J’ai pris Beckenbauer, qui est devenu le manager du club. Et je peux vous dire que, quand Beckenbauer rentrait dans les machins, il signait des autographes, il nous a donné son prestige. »
Le club parisien, dans lequel les Qataris ont investi près de deux milliards d’euros, n’a pas passé les huitièmes de finale de la Ligue des Champions depuis trois saisons.