« Il y a un décalage entre l’euphorie ressentie en Russie et le retour aux affaires courantes en club. Cela peut être déstabilisant. Mais le connaissant, c’est surtout la peur de se blesser qui l’empêche d’être à son niveau. Comme il n’a pas été épargné ces derniers mois, il rentre sur le terrain en pensant avant tout à ne pas se faire encore mal. Il a donc moins la tête à ses performances », a-t-il lancé au Parisien.