« Je suis un pur Marseillais, je bande pour l’OM. Petit, j’allais au Vélodrome, quand j’avais dix ans, je vibrais pour Steve (Mandanda). Aujourd’hui, quand je viens au stade, c’est vide, il ne se passe rien, jusqu’à me dire : « Je préférerais regarder le match à la maison. » Comment on est passé de la folie d’avril-mai à ce néant ? » aurait lancé le minot (propos rapportés par le quotidien L’Equipe).