« Quand tes recrues sont sur le banc, c’est que tu t’es planté. Là ils ne jouent même pas, donc c’est qu’il y a un souci. La vraie difficulté c’est qu’il y a tellement d’attente qu’ils veulent recruter des joueurs qu’ils ne peuvent pas avoir, a-t-il lâché au micro de RMC Sport. Le propre de la qualité d’un bon recrutement c’est d’aller chercher ce que tu peux avoir, le haut de ce que tu peux obtenir. Et là, ils sont sans arrêt sur des joueurs qu’ils ne peuvent pas avoir, et moi j’appelle ça un mercato Panini : j’aime lui, j’aime lui… Mais à la fin, il ne reste que les autocollants. »
« Garcia, c’est l’homme fort du club »
« Le président est à mon avis peu influent sur le recrutement, contrairement à d’autres clubs comme Naples avec De Laurentiis. Aujourd’hui, je ne pense pas qu’Eyraud soit présent sur le recrutement, ce n’est pas son métier et il est meilleur pour d’autres choses. Zubizarreta connaît le foot et a été un grand joueur. Et Rudi Garcia, qu’on le veuille ou non, c’est l’homme fort du club. C’est lui qui a tiré 200 % de cette équipe très moyenne l’année dernière », a-t-il ajouté.