« Le choix n’est pas permis : tout doit être remis à plat. Je ne suis pas certain qu’il faille augmenter les charges de travail, notamment au niveau de la concentration via des séances vidéo. Au contraire, elles doivent être déjà assez longues ces derniers temps. Le coach doit libérer la parole, car il y a probablement des non-dits. On voit qu’un type comme Adil Rami a envie de dire des choses. C’est un examen de conscience que chacun doit faire. Ensuite, il y a aussi la possibilité d’organiser le travail différemment afin de créer une énergie différente et libératrice », a expliqué dans Le Parisien celui qui a occupé le poste d’entraîneur de l’OM entre juillet 2012 et décembre 2013.